En février 2012, la correspondante de guerre Marie Colvin, plusieurs fois récompensée, et le photographe britannique Paul Conroy se sont rendus dans la Syrie dévastée par la guerre. Ils voulaient montrer au monde les souffrances que vivent les civils dans la ville assiégée de Homs, sous le feu constant de l'armée syrienne. Mais seul Paul Conroy est revenu vivant. Marie Colvin est tuée par un obus le 22 février 2012 lors d'une attaque d'artillerie présumée ciblée sur le centre médiatique improvisé de Homs. Le photographe Rémi Ochlik est également mort dans l'attaque. Paul Conroy a échappé à la mort de justesse et a été grièvement blessé.
Avec ce documentaire, Conroy raconte l'histoire de Marie Colvin. Témoigner, tel était le credo du reporter. En toute logique, le film traite aussi des habitants de Bab al-Amr, le quartier de Homs le plus âprement disputé. Colvin voulait montrer leur souffrance au monde : Des femmes et des enfants qui espèrent la fin des bombardements en mangeant du riz et en buvant peu d'eau dans une cave complètement remplie. Le film parle également du médecin de campagne, le Dr Mohammed Mohammed. Il tente d'aider les blessés à survivre, y compris Paul Conroy et une équipe de journalistes français à la fin.
Rien que pendant la période où Marie Colvin et Paul Conroy ont couvert Homs, d'innombrables innocents, du nourrisson à la femme âgée, sont morts sous les bombes incessantes du régime Assad. Assad s'en prend à sa propre population parce qu'elle a osé se soulever contre lui.
Rappeler en tant que témoin que le régime syrien pourchassait les civils est devenu la mission de vie de Paul Conroy, gravement blessé et traumatisé. Homs était un centre de la branche syrienne du Printemps arabe - et Assad a pris une revanche sanglante sur la ville et ses habitants.
Le point de vue des participants au Printemps arabe est représenté dans le film par Wa'el, qui a assisté Colvin et Conroy sur place en tant que traducteur et producteur.
En février 2012, la correspondante de guerre Marie Colvin, plusieurs fois récompensée, et le photographe britannique Paul Conroy se sont rendus dans la Syrie dévastée par la guerre. Ils voulaient montrer au monde les souffrances que vivent les civils dans la ville assiégée de Homs, sous le feu constant de l'armée syrienne. Mais seul Paul Conroy est revenu vivant. Marie Colvin est tuée par un obus le 22 février 2012 lors d'une attaque d'artillerie présumée ciblée sur le centre médiatique improvisé de Homs. Le photographe Rémi Ochlik est également mort dans l'attaque. Paul Conroy a échappé à la mort de justesse et a été grièvement blessé.
Avec ce documentaire, Conroy raconte l'histoire de Marie Colvin. Témoigner, tel était le credo du reporter. En toute logique, le film traite aussi des habitants de Bab al-Amr, le quartier de Homs le plus âprement disputé. Colvin voulait montrer leur souffrance au monde : Des femmes et des enfants qui espèrent la fin des bombardements en mangeant du riz et en buvant peu d'eau dans une cave complètement remplie. Le film parle également du médecin de campagne, le Dr Mohammed Mohammed. Il tente d'aider les blessés à survivre, y compris Paul Conroy et une équipe de journalistes français à la fin.
Rien que pendant la période où Marie Colvin et Paul Conroy ont couvert Homs, d'innombrables innocents, du nourrisson à la femme âgée, sont morts sous les bombes incessantes du régime Assad. Assad s'en prend à sa propre population parce qu'elle a osé se soulever contre lui.
Rappeler en tant que témoin que le régime syrien pourchassait les civils est devenu la mission de vie de Paul Conroy, gravement blessé et traumatisé. Homs était un centre de la branche syrienne du Printemps arabe - et Assad a pris une revanche sanglante sur la ville et ses habitants.
Le point de vue des participants au Printemps arabe est représenté dans le film par Wa'el, qui a assisté Colvin et Conroy sur place en tant que traducteur et producteur.